Depuis les années 2010, de nombreuses découvertes scientifiques ont confirmé ce que les anciens savaient. Ce que d’autres scientifiques du 20ème et même du 19ème siècle avaient suggéré sans pouvoir en établir les preuves scientifiques selon les règles actuelles.
L’eau, l’élément de vie
Selon ses travaux et notamment ceux des Pr Martin Chaplin, Dr Gerarld Pollack, Dr Emilio Del Giudice – et bien d’autres, le Pr Marc Henry suggère que l’eau est l’interface entre le monde invisible de l’information et le monde visible de la matière.
Ainsi, l’information véhiculée par la lumière et les photons infrarouges serait réceptionnée et rediffusée par l’eau pour communiquer la forme et la fonction aux cellules et organes.
96% d’eau chez un humain
Le Pr Marc Henry précise qu’une femme adulte est composée à 96% d’eau en nombre de molécules. 97% pour un homme qui a, un tout petit peu moins, de masse… graisseuse. La masse atomique est moindre, de l’ordre de 70%. Ce volume d’eau décroit avec la déshydratation liée à l’âge.
L’humain est donc très majoritairement une masse d’eau en mouvement. L’eau est une molécule particulière car suffisamment structurée, mais relativement simple pour s’adapter, collecter, redistribuer.
Des zones d’exclusion et d’information
Au sein des cellules, le nombre de molécules d’eau surclasse donc tout le reste et de très loin[1].
Une partie de cette eau est structurée sous forme H3O2– en nid d’abeille. Cette eau forme des zones d’exclusion[2] par polarisation électrique[3]. La taille de ces zones varie en fonction de la pollution interne de la cellule et de la quantité de lumière absorbée.
Plus la zone est grande, plus elle capte de lumière et s’agrandit – le cycle est vertueux. L’espace libéré entre ces molécules d’eau favorise la taille des vortex des électrons de ces molécules d’eau pour capter davantage de lumière – Infrarouge en particulier – et repousser les solutés et autres électrolytes que la cellule doit éliminer.
Extrait du site https://pollacklab.org
L’eau, batterie du vivant
Avec ses équipes, le chercheur Gerald Pollack a mis en évidence ce quatrième état de l’eau : un gel quantique qui adhère à la membrane de la cellule et à toute partie hydrophile. Le corps humain est composé à 100% de substance hydrophile.
Mais plus intéressant encore, il formule l’hypothèse, confirmée par de nombreuses expériences, que l’eau structurée – H302– – est la véritable source d’énergie de la cellule.
La mémoire de l’eau ?
L’eau n’a, à proprement parler, pas de mémoire. Mais elle est capable selon sa structure H3O2– de capter plus ou moins de photons, en particulier infrarouges. Ces photons sont porteurs d’information via leur fréquence.
Et si l’énergie solaire, dont les rayonnements sont constitués à 50% d’infrarouges, étaient notre principale source de vie ? Ce grâce à l’eau de notre corps ?
Totum et matrice
Plus de 160 études scientifiques ont montré que la transformation et l’ultra-transformation[4] des produits étaient responsables de nombreuses maladies chroniques et dégénératives. Pourquoi ?
Parce que la transformation de l’aliment prive les nutriments et micronutriments[5] de leur matrice. La matrice coordonne ces nutriments, les rend vivants, coopératifs et assimilables par l’organisme.
Cette matrice est aussi ce qui sous tend le concept du Totum d’une plante : le tout est supérieur à la somme des parties. Pris indépendamment les nutriments d’un végétal ne sont pas très vitalisant.
Alors cette matrice des experts en nutrition, pourrait-elle être supportée par l’eau quantique ? Eau devenant morphogénique par ces étonnantes capacités de collecte et restitution d’informations ?
Selon les récentes découvertes sur l’eau et l’expérience clinique, tant avec l’alimentation qu’avec la psychothérapie, certains scientifiques, experts en nutrition et psychothérapeutes, partagent cette notion que c’est l’eau informée des aliments qui procurent l’énergie.
Ainsi l’eau quantique des végétaux – exposés au soleil et gorgés d’eau – et même celle des animaux serait la source d’énergie permettant la bonne synthèse des réactions chimiques. A condition de ne pas trop réduire et dénaturer cette eau quantique H3O2–…
Résonance et détox
L’eau de boisson joue un rôle essentiel dans l’élimination des toxines et autres déchets du corps. Le mécanisme de détox naturelle doit aujourd’hui être soutenu tant notre hygiène de vie[6] occidentale s’est dégradée.
Toute l’eau que nous ingérons par le tube digestif ou par le peau, rentre en résonance avec l’eau que nous sommes. Une eau vitalisée favorise un apport d’énergie propice à la détox.
La vie c’est de l’eau dansant au rythme des solides.
– Albert Szent-Györgyi, scientifique hongrois, Prix Nobel de Médecine, 1893 – 1986.
Pourquoi Amilo ?
Depuis près de 30 ans, je filtre l’eau à la maison pour des raisons de santé, d’économie et d’écologie avec les bouteilles plastiques. Sensible à l’information portée par l’eau au-delà de sa structure, depuis plus de 5 ans, j’utilisais donc différents dispositifs pour traiter l’eau de boisson.
Le système Amilo a permis de simplifier le processus pour tous les points d’eau de l’habitation, avec un seul ensemble pertinent et efficient.
De tous les systèmes étudiés et testés depuis toutes ces années, c’est celui qui offre le meilleur rapport performances budget. Praticien PEACE et passionné de santé globale, conseiller et distribuer la gamme Amilo était une évidence.
Références & ressources
[1] Le Professeur Marc Henry, ingénieur chimiste, docteur es Science, directeur de recherche au CNRS et spécialiste de l’eau, explique qu’une cellule du corps humain est faite à :
- 99,1% de molécules d’eau
- 0,5 % de ions
- 0,4 % de molécules organiques avec ADN, protéines…
Cf https://marchenry.org/
[2] Cette eau structurée en zone d’exclusion baptisée ez – avec le jeu de mot easy en anglais – est en français baptisée eau morphogénique par le Pr Marc Henry : l’eau morphogénique donnerait la forme et la fonction.
[3] Voir les conférences du Dr Gerald Pollack, dont https://www.youtube.com/watch?v=i-T7tCMUDXU
et sur https://www.pollacklab.org/
[4] Voir les indices Nova (2009) et SIGA (2017) qui classifient les aliments pour leur pertinence selon leur indice de transformation, plus important que les deux autres critères à prendre en compte : végétal et varié.
https://www.quechoisir.org/decryptage-aliments-ultratransformes-nova-et-siga-deux-classifications-pour-evaluer-le-niveau-de-transformation-n78543/
[5] Nutriments : Glucides, lipides, protéines.
Micronutriments : Vitamines, minéraux, oligoéléments que la cuisson va notamment détruire en tout ou partie selon le niveau de température. Les micronutriments dont l’humain est aujourd’hui fortement carencé, du fait de la pauvreté des sols et de la transformation et l’ultra-transformation des aliments.
[6] Manque d’oxygénation, d’exposition à la lumière, mauvaise alimentation, trop industrielle et transformée, stress, etc.
