Eau, douleurs & maladie : l’équation solution ?

Le corps humain adulte est composé de 96 à 97% de molécules d’eau ! Cette eau est-elle uniquement présente pour faire de la figuration ?

Dans l’article « l’eau, source de vie et santé« , le 4^ème état de l’eau est présenté dans son rôle de batterie des cellules, source de tous les processus biologiques des cellules et donc par extension des organes et différents systèmes du corps humain[1].

Lorsque cette batterie est défaillante, c’est l’ensemble des systèmes qui sont impactés. Il en résulte une moindre vitalité pour faire face à une surcharge de pollution physique et/ou physique.

L’eau, moteur énergétique

Si l’on comprend que :

• Toutes les membranes du corps humains sont hydrophiles ;
• Que toutes sont recouvertes de part et d’autre de leur surface d’un gel d’eau[2] – le 4^ème état de l’eau selon une structure nid d’abeille H₃0₂^– ;
• Que ce gel alcalin est de charge négative et que sa surface s’accroit au contact de la lumière infrarouge ;
• Qu’il constitue alors avec l’eau acide H₂0⁺ protonée de charge positive – contenant plus ou moins d’ions H⁺ – une batterie avec ses deux polarités !

Lorsque l’équilibre de ces deux bornes positive et négative est rompu par plusieurs facteurs complémentaires mais non exclusifs :

• Réduction de la borne négative, zone alcaline H₃0₂^–, par notamment :
  • Manque de lumière infrarouge ;
  • Contraction des membranes cellulaires, tissulaires, etc. – stress, angoisse et peur chroniques, dépression, tristesse, colère, honte ;
• Augmentation de la borne positive, la zone acide[3] H₂0⁺ protonée par :
  • Apport surabondant de ions H⁺ liés aux acides non hydrolysables – protéines animales, chlorure de sodium, alimentation industrielle ultra-transformée ;
  • Présence de métaux lourds excitées par les ondes électromagnétiques ambiantes générant des perturbations électriques ;
  • Mauvaise élimination des ions H⁺.

Alors la batterie n’a plus la même puissance… et perd de son efficacité pour assurer les 4 rôles vitaux du cycle du vivant :

• Oxygénation
• Alimentation-assimilation
• Élimination
• Régénération

L’acidose, mère des maladies

A la lumière du rôle de ces eaux H₃0₂^– et H₂0⁺, il devient plus aisé de comprendre pourquoi l’acidose – où plus précisément l’oxydation – est la mère de toutes les maladies et en particulier des douleurs[4].

Les travaux du Dr Gerald Pollack[5] ont prouvé que cette batterie d’eau était la source de flux qui agissent à tous les niveaux et en particulier pour :

• La circulation sanguine :
  • Dans les micros vaisseaux sanguins, le globule rouge plus gros que le vaisseau ne pourrait circuler du seul fait de la pompe cardiaque ;
  • La structure du sang pour éviter la coagulation des globules rouges – des formations en rouleaux – et permettre ainsi de véhiculer correctement oxygène et nutriments ;
• L’activation des gènes et de toutes les fonctions de la cellule ;
• L’élimination par tous les émonctoires qui doivent se débarrasser des acides – les cristaux d’acide formés sont la cause des douleurs ;
• La souplesse et la mobilité des membranes, des fascias, des tissus, des muscles, des tendons ;
• Etc.

Images du film « Water, le pouvoir secret de l’eau » Le Dr Perl Laperla illustre la modification de la structure du sang, avant et seulement quelques minutes après l’ingestion d’un verre d’eau structurée.

Vieillesse et maladie

Le rôle de l’eau peut désormais balayer la croyance que vieillesse est synonyme de perte de vitalité et maladie chronique. D’ailleurs, la société occidentale produit toujours plus de jeunes adultes et d’enfants malades…

Si la déshydratation liée à l’âge est évidemment corrélée à une moindre vitalité, c’est surtout l’accumulation des déchets dans la partie acide H₂O⁺ qui est responsale de cette perte de vitalité et des maladies. Cette accumulation de déchets s’explique par toujours plus d’empoisonnements difficilement éliminables naturellement. Et plus on empoisonne, moins on élimine. CQFD. Un cercle vicieux qui accélère vieillissement et maladie.

La déshydratation

La qualité de l’eau de notre corps est le facteur décisif d’une bonne santé.  La déshydratation est liée, entre autres, à la qualité de l’eau ingérée en tant que boisson – l’eau non vitalisée du réseau et des bouteilles hydraterait à seulement 15% selon certains experts – et la trop faible consommation de fruits et légumes bios et frais.

Quelles solutions ?

Plusieurs leviers d’action s’inscrivent sur les plans physiologique, psychique, émotionnel et même spirituel.

Selon ses disponibilités, envies et addictions, chacun pourra remettre en cause progressivement ses habitudes trop acidifiantes. Et ainsi rétablir un juste équilibre acido-basique.

Le geste le plus simple et anodin au quotidien est de consommer une eau vivante, réellement hydrante car structurée. Une eau correctement vitalisée possède en effet cette structure vitale H₃0₂^– qui va entrer en résonnance avec cette même eau de notre corps.

Bien évidemment, on retrouvera dans les fruits et légumes frais, non cuits, cette eau vivante en abondance – d’autant plus que fruits et légumes auront pris le soleil abondamment. Cette eau vivante est par contre absente des protéines animales, des eaux embouteillées ou des eaux du réseau et de l’alimentation industrielle.

A suivre dans un prochain article : l’eau et son impact psychique avec la souffrance.

[1] Nerveux, respiratoire, circulatoire-cardiovasculaire, digestif, urinaire, endocrinien, reproducteur, musculosquelettique-locomoteur, lymphatique, immunitaire, tégumentaire
https://www.indexsante.ca/chroniques/741/les-10-systemes-du-corps-humain.php

[2] L’étude scientifique sur les surfaces hydrophiles et les différents types d’eau https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S2215038221000376

[3] Qu’est-ce qu’un acide ? https://kidiscience.cafe-sciences.org/articles/quest-ce-quun-acide/

[4] Les cristaux d’acide sont très douloureux, ils s’accumulent, grossissent, attaquent les tissus, altèrent souplesse, mobilité, vitalité.
Certains kinés et autres spécialistes de massages appuyés utilisent la technique de Georgia Knapp pour casser ces cristaux d’acide avec une très forte pression sur les points douloureux. Libérateur… après la douleur !
Certains naturopathes conseillent des purges salines pour éliminer les acides. Ces purges s’accompagnent d’un jeûne hydrique avec une consommation de plusieurs litres d’eau et bouillon pour vidanger notamment les reins, le foie et le système lymphatique .
Des études, notamment japonaises, ont prouvé que l’utilisation de saunas infrarouges permettaient d’éliminer nombre de toxines et aussi les métaux lourds.

[5] Cf publications et conférences du Dr Gerald Pollack, dont https://www.youtube.com/watch?v=i-T7tCMUDXU et sur https://www.pollacklab.org/